L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Au tir à l'arc, tant que j'espère atteindre la cible, j'ai peur de la rater : me voilà séparé du bonheur par l'espérance même qui le poursuit. La flèche n'est pas encore partie ; je voudrais être déjà sur le podium ! Le sage, lui, n'espère rien ; il veut seulement viser bien. Or c'est ce qu'il fait. De quoi aurait-il peur ? Il est sans pression, à fois concentré et détendu. C'est pourquoi, disent les textes zen, «il atteint un pou en plein coeur».
André Comte-Sponville traite dans ce livre des vertus et des limites du sport, ainsi que des valeurs qu'il peut incarner. Il s'agit de réconcilier l'idéal démocratique, qui suppose l'égalité de tous, avec l'idéal aristocratique, qui suppose au contraire leur inégalité, selon le principe : « Que le meilleur gagne ! » Car si nous sommes tous égaux en droits et en dignité, nous ne le sommes ni en fait ni en valeur. C'est ce qui distingue la démocratie du nihilisme, et le sport d'un simple divertissement.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Mêlant la folie à l’amour, l’auteur nous offre le portrait saisissant d’une « femme étrange » bousculant les normes binaires de l’identité sexuelle
Dans ce recueil de 13 nouvelles, la jeune autrice mexicaine frappe fort mais juste
Une fiction historique glaçante et inoubliable, aux confins de l’Antarctique