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Sur fond d'engouement du XIXe siècle pour le Moyen Âge, Proust porte à l'art médiéval un intérêt intime, reflété dans ses lettres à Reynaldo Hahn : la fantaisie médiévalisante, qui sert de code aux deux amis, s'y épanouit en un « lansgage » pseudo-médiéval et en « dessindicaces », croquis généralement décalqués sur les illustrations de L'art religieux du xiiie siècle en France d'Émile Mâle.
Ces calques peuvent se lire comme des allégories du Moyen Âge proustien, marqué par une relation médiatisée, une recréation personnelle et une pluralité de sens, hétérogènes et ambigus. Aussi s'agit-il dans ce volume collectif moins du Moyen Âge que des « Moyen Âge », ces représentations, médiévistes, médiévalisantes ou moyenâgeuses, que Proust a héritées du xixe siècle et qu'il a reconfigurées dans son oeuvre. C'est pour revisiter cette cathédrale, ou plutôt cette « kasthédralch », que proustiens, médiévistes et médiévalistes croisent ici leurs éclairages respectifs.
Avant-propos de Michel Zink
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