L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Le polaroïd est d'abord un concept. Écrire très près. Très près de l'objectif, très près du sexe, en érection. Moment très bref, aussi bref que l'orgasme. Écrire l'orgasme, l'obscène, l'immontrable et l'indicible. Écrire la vision, instantanée. Écrire la sueur, aussi, qui perle sur la peau. Fuir le mental et ne montrer que le corps, que son obscénité. Où le polaroïd, remplacera le cliché photographique (et pornographique). Un cycle du sperme, un cycle de la pisse et un cycle de la merde - à l'image des trois éléments de la matière sexuelle, se sont dessinés au fur et à mesure de la venue de ces polaroïds. D'autres cycles pourraient également se dégager. Le lecteur pourra laisser courir son imagination, et décider si tel ou tel polaroïd appartient à tel ou tel cycle. C'est le lecteur/regardeur qui finit l'Å«uvre (après Marcel Duchamp). L'ouvrage est accompagné d'Å«uvres érotiques en couleurs du peintre Jean-Marc André recadrées par l'auteur.
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