L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
" Il n'y a que du sang qui coule. Lourd, noir, épais. J'ai trois gros orifices dans le ventre. Si on m'avait pas coupé la langue, je hurlerais. La seule chose que je peux faire, c'est plisser les yeux en grimaçant. Plisser seulement, pas fermer. Faut pas fermer les yeux. J'ai encore plein de choses à faire. " Qui est ce personnage en train de mourir ? C'est lui qui va nous raconter son histoire, dans un prodigieux monologue dit " sans la langue ".
" La confession d'un petit industriel spécialisé dans la restauration collective qui, pour conquérir des marchés publics, amis le doigt dans un engrenage qu'il ne maîtrise pas et où il se frotte à des requins bien plus redoutables que lui. Ou comment un petit patron qui se dit de gauche bascule insensiblement dans la criminalité. La forme du monologue, en gommant les péripéties pittoresques du polar, rend le récit d'autant plus convaincant. "Gérard Meudal, Le Monde
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