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Ils étaient deux. Ne faisaient qu'un. Et José Frèches croyait qu'ils avaient l'éternité devant eux. Mais le 29 novembre 2011, à l'âge de 61 ans, il disait adieu à son jumeau. Ce jour-là, il crut mourir aussi...
Comment rester debout sans son « pareil », son frère miroir, son premier rival ? Longtemps l'écrivain s'est enfermé dans le silence. Jusqu'à ce livre... et ce miracle :
En racontant Jean-Benoît, l'auteur s'est révélé à lui-même. Il a renoué avec la vie.
Nous étions deux est une confession bouleversante. Sur le bonheur et la malédiction des jumeaux, et, au-delà, sur tous ces orphelins qui, un jour, ont perdu leur âme soeur.
Dans ce livre lumineux, José Frèches nous invite à dépasser nos chagrins et à célébrer le goût de vivre retrouvé.
Un récit à coeur ouvert, aussi intimiste qu'universel.
José Frèches est l'auteur de best-sellers traduits en vingt et une langues, comme Le Disque de Jade, L'Impératrice de la soie et L'Empire des larmes.
J'étais très intéressée par le thème de la gémellité mais je ne souhaitais pas le découvrir à travers une étude ou un livre scientifique mais par un témoignage, un récit personnel.
José Frèches évoque la perte de son jumeau, JB (Jean-Benoît) huit ans après son décès, en novembre 2011. Il était son double, son miroir mais aussi son rival entre "fusion", "fission" et "confusion" et sa disparition l'a vidé d'une partie de lui-même.
Ce livre est à la fois un hymne à l'amour qui l'unissait à son frère, un lien indéfectible et poignant et un document sur la gémellité, l'auteur citant régulièrement les études menées sur ce qui reste encore un mystère, en particulier par le psychoclinicien René Zazzo qui a écrit "Le paradoxe des jumeaux" en 1984.
On apprend que la gémellité interroge, fascine, inquiète depuis des temps immémoriaux et l'auteur de citer des figures de jumeaux de la mythologie comme Castor et Pollux, Hypnos et Thanatos, Romulus et Remus...
Cependant, la lecture a été rendue difficile par des références nombreuses à des personnes, des lieux, des œuvres d'art, évidentes pour l'auteur mais la plupart du temps absconses pour le lecteur; j'ai été également très agacée par le chapitre 10 entièrement consacré à la façon dont le père de l'auteur, son frère et lui-même ont obtenu la Légion d'Honneur; dix pages où on nous explique qu'il suffit d'avoir un réseau, d'être bien placé dans les hautes sphères, de demander la décoration pour un proche pour l'obtenir; l'auteur détaille les différentes réceptions au cours de laquelle ces décorations ont été remises ainsi que les illustres invités ; dix pages qui n'apportent rien si ce n'est un profond ennui.
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