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Egon Schiele, célèbre peintre viennois du tournant du siècle dernier, s'essaie à la littérature et nous fait pénétrer dans un univers proche de ses tableaux.
Ses poèmes, petites touches presque impressionnistes, encore ou déjà cris violents de l'expressionnisme, sont des jets sur le papier, saisis à la hâte dirait-on, comme pour aller au-devant du temps qui s'enfuit, pour dire l'état d'urgence du vaste Empire crépusculaire, la volonté de briser, et en même temps de fusionner quelques instants encore avec le père, avec tous ces pères qui s'aveuglent. Le passé individuel et collectif semble se réveiller en sursaut, dévoilant la part maudite de l'homme, ses contradictions profondes.
En lisant les poèmes de Schiele, chacun se trouve face à sa propre image: Eros et Thanatos s'affrontent, la mort embrasse la vie. Le mal aussi appartient à la littérature.
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