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Au travers d'une soixantaine d'illustrations en couleurs et des textes concis cet ouvrage offre une vision très vivante et didactique des modes initiées par Catherine de Médicis ou celles lancées de son temps.
L'ouvrage révèle l'influence d'une souveraine qui souhaitait s'imposer également par le biais de l'apparence :
On lui doit notamment la popularisation des talons hauts qu'elle estimait nécessaire pour sa prestance car elle était de petite taille ainsi que celle d'accessoires tels que les éventails et des gants de senteur, de sinistre réputation.
Son époque se caractérise par l'apparition de modes plus structurées que celles qui les ont précédées, notamment grâce à de nouveaux artifices tels que les corps à baleines ainsi que divers rembourrages ou armatures tels que le vertugadin et la vertugade pour les femmes et les coques des braguettes pour les hommes. Sans oublier les masques ou les innombrables fraises, toques et autres coiffes tous voués à la beauté du visage tantôt pour le protéger des méfaits du soleil, tantôt pour le mettre en valeur.
L'ouvrage met aussi en lumière les deux options qui s'offrent en matière de modes masculines : entre une apparence délibérément « terrible » ou particulièrement précieuse, Henri III, fils préféré de Catherine de Médicis, opte pour la deuxième, marquant ainsi avec force les esprits et les modes de la fin du XVIème siècle...
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