L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Le photographe esthète Jacques Crenn présente sa dernière envolée photographique, les visages grimés de noir - suif, cirage ou peinture - évocateurs de la richesse de ce sol pour lequel l'humain s'entretue. Anges noirs, hommes et femmes comme issus de la mine et de la nuit, après le dur labeur, les épreuves que réserve la vie, le drame des humanités. Obstiné, l'artiste, fervent d'expressionnisme cinématographique, a construit ce canevas humain entre 2010 et 2012 - soit une trentaine de portraits, jouant de l'or et de l'ébène. Sa première rencontre avec le sujet " corps " le fascine. Immédiatement, il est allié à la vénusté. D'où, ici présente, cette beauté saisissante de par la perfection de ces visages aux expressions presque inquiétantes devant une révolte intérieure que l'on subodore. Certains regards sont pointés ; d'autres non. Les yeux : le miroir de l'âme. Cela n'a jamais été aussi vrai. C'est ainsi que le photographe subjugue, intrigue, et finalement émeut.
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