L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
C'est dans Caresses Déraillées, le premier album du jeune auteur Baltazar Montanaro (éditions de L'oeuf, 2008) que l'on a pu découvrir le personnage du Dr Charles, médecin fantasque et émotif, traversé par des « crises poétiques ». L'auteur parle de « poésies dessinées » pour la forme originale de son écriture où mots et images se mêlent intimement, et où il poursuit ses expérimentations dans sa recherche d'écriture poético-graphique. Avec ce nouvel ouvrage, Baltazar Montanaro continue sa quête dans cette forme très personnelle, tout en se donnant de nouvelles contraintes, comme celle de se libérer de la case, de construire et déconstruire la composition de la page, de jouer avec l'abstraction, de jouer la répétition en se renouvelant. Mes ombres crient se présente comme une suite de poèmes graphiques, avec pour déclamateur le Dr Charles. Où l'on retrouve le trait très libre au pinceau qui caractérise l'auteur et son sens de l'improvisation. L'ouvrage laisse s'épanouir le style d'un jeune créateur en devenir qui a choisi l'expérimentation, nous réservant encore bien des surprises.
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