L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Casanova le Vénitien écrivit ses Mémoires en français, entre 1789 et 1798. Publiés à titre posthume en 1825, dans une version censurée, ils furent mis à l'index des livres interdits, en 1834, avec toutes les ouvres de l'éternel séducteur.
Tour à tour abbé, militaire, historien, antiquaire, publiciste, poète, violoniste, chimiste, magicien, espion, industriel, il se lança dans toutes les aventures à la seule recherche du plaisir. Vivant d'expédients sans penser au lendemain, flambant l'argent qu'il avait acquis de manière souvent peu avouable, se refaisant au jeu dès que possible, il courut le monde et les jupons, guidé par ses amours passagères et libertines, dans un siècle rongé par la corruption. Mais par là même, Casanova se fit le témoin de son époque, et selon Blaise Cendrars, ses Mémoires sont la véritable encyclopédie du XVIIIe siècle.
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