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À l'instar de Georges Guynemer et René Fonck, Maurice Boyau, athlète accompli et pilote hors pair, est reconnu aujourd'hui comme un as de la Grande Guerre. Il figure en 5 e place du palmarès. Rugbyman au Stade bordelais, puis capitaine de l'équipe de France en 1913, Maurice est mobilisé et rejoint l'escadrille 77, dite « des sportifs ».
En tant que pilote, Maurice se distingue aussi dans les airs : sa spécialité est l'attaque des ballons captifs, les « drachens », stations d'observation ennemies que l'état- major cherche à tout prix à détruire. Maurice est porté disparu au cours d'un combat aérien, le 16 septembre 1918, à l'âge de 30 ans. Un match de rugby, auquel il devait participer en tant que capitaine de l'équipe du Racing, est disputé en son honneur à quatorze, les joueurs refusant de le remplacer.
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