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Titus Clemens a vingt ans et sa vie patricienne et chrétienne se déroule, heureuse, dans Rome, malgré l'atmosphère sombre qu'entretient l'empereur Domitien au sein de son entourage. Titus et son père ont même la grâce de faire la connaissance de saint Jean l'Evangéliste dont les cheveux blancs n'ont pas amorti le zèle apostolique. Mais le mal rôde. Un proche de Domitien, Makarios, aigri parce que Titus l'a empêché de maltraiter un esclave, ne songe que vengeance et complots. Profitant de l'oreille attentive que lui prête son maître, il le persuade de tendre à Flavius, père de Titus, un piège terrible : l'apostasie sous la menace de l'exécution. Makarios intrigue toujours plus, finalement la famille de Titus doit faire face à la prison et à la perspective de la mort. Avec ce troisième roman, Anne Bernet clôt la série Le signe de l'Ichtus de façon merveilleuse, dans un roman palpitant et profondément surnaturel. La culture antique, comme pour les deux précédents volumes, n'est pas en reste, et le lecteur y accède avec aisance et même plaisir. Mais surtout le souffle de la foi et du martyre parcourt ces pages qui rappellent Fabiola.
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