L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Écrire scientifiquement sur les Disparus civils européens pendant la guerre d'Algérie, c'est lever le dernier tabou de la guerre d'Algérie. C'est dire ce que nous ne voulons pas entendre depuis près d'un demi-siècle : il y a eu beaucoup plus d'Européens enlevés et dont nous n'avons aujourd'hui aucune « trace » après les Accords d'Évian et après l'indépendance de l'Algérie qu'en « pleine guerre » ! C'est dire aussi que le FLN (Front de libération nationale) et l'ALN (Armée de libération nationale) ont été les principaux acteurs de ces « disparitions » et qu'à aucun moment, leurs dirigeants n'ont désavoué ces pratiques. Le but de faire partir les Français d'Algérie fut finalement atteint par la terreur instituée par le FLN. C'est dire enfin que le gouvernement français était parfaitement au courant des exactions perpétrées contre ses ressortissants sans intervenir autrement que par de vaines protestations. Par cette étude, le manichéisme issu de la guerre d'Algérie, entre les « bons » d'un côté et les «mauvais » de l'autre, n'a plus cours. L'analyse de cet ouvrage permet de redonner une histoire à des personnes, à des familles qui en étaient privées. Approcher cette histoire était toute l'ambition de cette recherche novatrice.
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