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Ce bâtiment administratif et technique de l'écluse de Kembs / Niffer semble sortir de terre comme une étrange péniche faite de métaux rougis de rouille et de verre. La lumière aime y jouer à travers les multiples ajours et moucharabieh de cette architecture, qui, par sa forme et ses matériaux, rend hommage au canal voisin, aux péniches l'empruntant et à ceux qui y travaillent - mais également à la nature environnante, grâce aux fresques ornementales suggérant la rencontre entre l'eau et la végétation du plasticien Miguel Chevalier.
En confrontation à cette oeuvre architecturale, Charles Pennequin écrit un texte éclaté, à plusieurs facettes, présenté comme une dérive, tant physique que mentale, dans cet univers de lumière, "ce palais des glaces" (non celui de versailles, mais celui de la ducasse de cambrai...). Dérive où le poète réagit à ce bâtiment en y projetant, comme sur un écran lui même démultiplié, son "mal être au monde", ses désirs, ses doutes - et ses réflexions sur l'écriture et, plus largement, sur la création.
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