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La question du temps a animé depuis l'Antiquité le destin des sciences, tout en étant au centre de diverses élucidations de l'existence humaine, lui assurant également un statut métaphysique. Ce n'est dès lors pas un hasard si, à notre époque, la philosophie, dans son effort de situer sa spécificité par rapport à la marche triomphante des sciences, s'engagea dans des spéculations fécondes avec comme centre de gravité la question du temps. Dans ces tentatives, Aristote est souvent pris comme référence, ce qui interpelle à la fois l'historien de la philosophie et le philosophe. L'intérêt de la pensée d'Aristote réside dans le fait qu'elle présente divers modes de temporalité (période, saisons, temps de vie, temps propice...) parmi lesquels figure le temps envisagé comme objet de science.
C'est en partant de cette constatation que « La question du temps chez Aristote » fut choisie comme thème de la cinquième « Rencontre aristotélicienne », réalisée dans le cadre du « Centre Interdisciplinaire des Études Aristotéliciennes » de l'Université Aristote de Thessalonique.
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