"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Tous les matins, le coq de Lionel et Joëlle montait au clocher et chantait : « O sole mio... ».
Cela dura de nombreuses années, tant et si bien qu'il semblait que ce serait toujours ainsi.
Mais, le coq vieillissait et un soir il ferma les yeux pour dormir...
La mort est un concept difficile à comprendre pour les enfants et à expliquer pour les adultes. Le dernier chant pose la question tendrement et la présente comme un processus naturel de la vie : le dénouement irréversible, universel et inévitable pour tous. Le livre aborde les différentes étapes affectives par lesquelles on passe lorsqu'on doit affronter la perte de quelqu'un : le deuil, l'acceptation et, finalement le bel héritage des souvenirs qu'il nous laisse et tout cela sans perdre la tension narrative, l'émotion et les espaces suggestifs. Ainsi, on aide les plus petits à s'approcher du thème de la mort d'une façon utile pour réfléchir sur la vie et en apprécier tous les bons moments. Parallèlement et de façon symbolique, l'histoire souligne l'importance de la transmission de connaissances, la clef pour avancer vers la maturité et vers la croissance des émotions. Ces concepts et valeurs se renforcent par les perspectives et les compositions picturales de Miguel Ángel Díez qui a créé pour cet album des personnages très élaborés, aux caractéristiques anthropomorphiques.
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