Passionné(e) de lecture ? Inscrivez-vous gratuitement ou connectez-vous pour rejoindre la communauté et bénéficier de toutes les fonctionnalités du site !  

Le châtiment des goyaves et autres nouvelles

Couverture du livre « Le châtiment des goyaves et autres nouvelles » de Carine Fernandez aux éditions Editions Dialogues
Résumé:

L'Orient ne fait plus rêver. Les montgolfières de l'idéal retombent en lambeaux sur le désert, pas même ourlé de dunes, mais terre battue, waste land, tarmac d'opérations militaires. Loin du romantisme de la littérature orientaliste, l'Orient créé par l'Occident, ces nouvelles s'attachent non au... Voir plus

L'Orient ne fait plus rêver. Les montgolfières de l'idéal retombent en lambeaux sur le désert, pas même ourlé de dunes, mais terre battue, waste land, tarmac d'opérations militaires. Loin du romantisme de la littérature orientaliste, l'Orient créé par l'Occident, ces nouvelles s'attachent non au rêve sur l'Orient mais aux rêves des orientaux. Voici sept histoires de rêveurs, d'idéalistes, de fils de la lune, qui font communiquer en profondeur plusieurs pays du Moyen Orient, comme de secrètes nappes phréatiques. Des rives du Nil où un vieux Saoudien veut reconstruire la villa mythique de son enfance, alors qu' une jeune pasionaria s'insurge sur la place Tahrir ; à l'Arabie avec Khaled, l'ingénu qui rêve de pureté sous le goyavier, tandis que les femmes rêvent de liberté ; aux contreforts du Yémen où une villageoise découvre son destin dans les ruines de la ville de la reine de Saba ; jusqu'à la quête folle de Hakem, l'historien égyptien qui traverse l'Irak en flammes à la recherche de l'ancienne secte des adorateurs du diable : les Yézidis.
Du quotidien faire surgir la cocasserie et l'étrangeté. A travers les disparités du monde arabe, toucher l'âme des hommes qui est une et toujours nourrie de l'éternelle Illusion qui fait vivre.

Donner votre avis

Donnez votre avis sur ce livre

Pour donner votre avis vous devez vous identifier, ou vous inscrire si vous n'avez pas encore de compte.