"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Joseph Bugeau s'adonne à la photographie à partir de 1894 ; on ignore quelles furent sa formations et les raisons de sa passion pour cette activité parallèle à sa profession d'épicier. Il semble avoir arrêté de photographier vers 1910. Son laboratoire, découvert dans les années 1960, contenait près de trois cents plaques de verre, supports de clichés sur gélatine. Ses clichés d'excellente facture par la technique photographique et par la composition très minutieuse des clichés sont conçus comme de véritables tableaux. Il s'est comporté en témoin de son temps, choisissant des thèmes particulièrement pertinents : grands chantiers de Monségur (la construction du pont, de la gare et de la partie centrale de la halle), moyens de transport, scènes de travaux des champs et d'artisanat, paysages, Monségur (sa place,ses rues, ses fêtes), etc. Les très nombreux portraits de ses contemporains et les clichés de groupes, donnent aussi un aperçu de la mode vestimentaire et des loisirs du monde rural de la fin du XIXe - début du XXe siècle.
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