L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
La taille de ce vent est un triangle dans l'eau est tiré d'un vers de l'écrivain portugaise Fiama Hasse Pais Brandão et sa part de mystère caractérise bien ce qui entoure les oeuvres photographiques de Manuela Marques.
Habituée à rapprocher des registres d'images de différentes natures (portrait, paysage, nature-morte) et à créer des situations photographiques spécifiques, l'artiste, par la formulation plastique de son travail, tend à mettre en doute ce que, nous, spectateur, percevons d'une réalité. Sa démarche artistique explore ainsi des lieux ou situations réelles dont elle prélève, comme par soustraction, certains fragments qu'elle fait jouer entre eux au moment de l'accrochage d'une exposition ou de la mise en page d'un livre.
Ce livre revisite près de cinq années de réalisations depuis sa dernière grande monographie (Still Nox, Marval, 2008). Il fait jouer à travers une mise en page originale un processus de «défocalisation» de la perception : une réalité fragile qui se retrouve entr'aperçu entre les choses ou amenuisée par des premiers plans brouillés.
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