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Le nom de Jérusalem n'a cessé de fasciner l'Occident médiéval, et la ville mythique est devenue très tôt un sujet littéraire. Parmi les récits les plus populaires figure celui de sa destruction en 70 par Vespasien et Titus. A la fin XIVe siècle, cette légende devient en Europe le miroir des illusions perdues face aux échecs des croisades d'Orient et à la chute du royaume chrétien de Terre sainte. Au croisement de l'Histoire et de la fiction, La Prise de Jérusalem est un récit couleur de feu et de sang.
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