Blanche vient de perdre son mari, Pierre, son autre elle-même. Un jour, elle rencontre Jules, un vieil homme amoureux des fleurs...
Rien n'est dans l'entendement qui n'ait d'abord été dans le sens, à l'exception de l'entendement lui-même.
Par cette disjonction de l'empirique et de l'apriorique, Leibniz inaugure l'une des distinctions fondamentales de la théorie de la connaissance jusqu'au XXe siècle. Mais qu'en est-il au juste de ces sens et, plus généralement, du corps dans la connaissance ? Font-ils partie du donné empirique ou des conditions aprioriques de la connaissance ? Par un détour qui relie les spécificités de la théorie des quanta à la perception quotidienne du monde, Karl Otto Apel décrit comment la distinction épistémologique classique escamote la question du corps.
S'appuyant sur la biologie de von Uexküll et la pensée de Heidegger, Apel entame une transformation de la philosophie kantienne en vue d'une anthropologie de la connaissance où le corps tient une place centrale.
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