"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Rien ne semble devoir troubler l'existence ordonnée de Pemberley, le domaine ancestral de la famille Darcy, ni perturber le bonheur d'Elizabeth, la maîtresse des lieux. Elle est la mère de deux charmants bambins et Jane, sa soeur préférée, habite tout près. Cette félicité se trouve soudain menacée lorsque, à la veille du bal d'automne, un drame contraint les Darcy à recevoir la plus jeune soeur d'Elizabeth et son mari, que leurs frasques passées ont rendu indésirables à Pemberley. Avec eux s'invitent la mort, la suspicion et la résurgence de rancunes anciennes. Tout en restant fidèle aux personnages du roman de Jane Austen, P.D. James imagine avec brio une suite - policière - à Orgueil et préjugés.On frissonne de terreur - et d'excitation - dans le Derbyshire ! P.D. James redonne toute leur intensité aux détestations des soeurs, son lustre à la vie de château, le tout dans une excellente enquête. Julie Malaure, Le Point.
J'adore ce livre , j'adore le roman original de Jane Austen et voulait savoir le futur des personnages et donc cette sorte de suite est formidable nous retrouvons nos personnages du domaine de Pemberley ! Et j'adore le côté enquête sorte de cluedo !
Nous retrouvons dans ce roman quasiment tous les protagonistes du roman de Jane Austen «Orgueils et Préjugés» datant de 1813. Je n’ai jamais lu ce livre de Jane Austen mais je connais l’histoire pour en avoir eu un résumé entre les mains et il me semble qu’une série télévisée basée sur celui-ci a été diffusée il y a bien longtemps.
Cette histoire commence quelques années après qu’Elizabeth Bennet ai épousé Fitzwilliam Darcy. Ils sont les heureux parents de deux petits garçons, Fitzwilliam Jr (5 ans) et Charles ( 2 ans). Elizabeth s’accommode très bien de son nouveau statut de femme de notable, s’occupant de sa maison, des personnes qui y vivent et y travaillent. Elle va régulièrement voir sa sœur adorée Jane Bingley, heureuse en ménage elle-aussi et qui n’habite pas très loin. Elle s’entent aussi très bien avec sa belle-sœur Geogiana, qui vit encore avec eux.
Elizabeth est très prise par les préparatifs du bal de Lady Anne, du nom de sa belle-mère décédée. C’est un grand événement mondain dans la région et elle est accaparée par toute l’organisation gigantesque que cela demande. Mais les ennuis vont arriver en la personne de son autre sœur, Lydia, avec qui elle est en froid depuis qu’elle a fugué pour épouser Wickham, ancien ami et presque frère de Darcy.
Lydia débarque en pleine nuit, affolée et en pleurs en expliquant que pendant qu’elle traversait la forêt pour se rendre chez Elizabeth, bien qu’elle ne soit pas invitée au bal, Wikham s’est disputé avec son ami Denny, qu’ils sont tous les deux descendus du cabriolet et que peu après, elle a entendu des coups de feu.
Darcy et les invités déjà présents en cette veille de bal, partent à leur recherche et découvrent Wikham accroupi devant le corps de Denny, s’accusant de sa mort.
Il est arrêté et devra répondre de son crime devant la justice. Mais est-il vraiment coupable?
C’est le premier livre de P.D. James que je lis et pour l’instant je n’ai pas l’intention d’en lire un autre. Cette lecture a été longue, fastidieuse et ennuyeuse. Si tous ses autres romans sont de cet acabit, je préfère me passer de cette « souffrance».
Le premier tiers de ce roman est consacré à la réécriture du roman de Jane Austen. Enfin, c’est comme cela que je l’ai ressenti. P.D. James nous fait un résumé non-exhaustif de tous les différents mariages de enfants Bennet et même des amies de ceux-ci, amies qui n’apparaitront jamais dans ce roman. Quel en est l’intérêt? Qu’elle replace les choses et les circonstances qui ont amené certains membres de cette famille à ne plus se fréquenter, je comprends très bien mais toute la famille et ses affiliés, je ne vois pas ce qui cela vient faire là. Autant aller lire le roman originel de Jane Austen qui reste un classique.
Après la découverte du corps de Denny et le début de l’enquête, ce qui est le moment le mieux réussi du roman mais malheureusement bien court, il y a les interrogatoires des témoins de la découverte du corps et de ceux qui étaient dans l’auberge où résidaient Lydia, Wikham et Denny les jours précédents. C’est normal me direz-vous. Sauf que ceux-ci ont lieu plusieurs fois, à Pemberley lors de l’arrestation de Wikham puis lors de son premier procès et lors de son deuxième à Londres. Tous racontent tout le temps la même chose de la même façon. C’est juste ennuyeux au possible.
Quand à la fin de l’histoire, à savoir que Wikham n’a effectivement rien fait, elle arrive n’importe comment. Et on croit encore moins au nouveau coupable car comment aurait-il pu avoir la force de frapper aussi fort Denny? C’est vraiment désolant de finir ce roman ainsi.
J’ai trouvé ce livre long, poussif, absolument déplaisant à lire car trop de choses sont dites et répétées. Les personnages sont sans saveurs alors que Jane Austen en avait fait des personnages haut en couleurs et avec des personnalités très marquées. Ce fut un bien difficile moment de lecture.
Ce fut une lecture laborieuse!
Je n’aime pas ne pas terminer un livre. J’ai toujours l’espoir qu’à un moment, quelque chose changera et que le livre deviendra génial. Que quelque chose me surprendra et viendra justifier ou expliquer tout ce que je n’aimais pas au départ.
Malheureusement, cela ne s’est absolument pas produit pour le roman policier de P.D. James.
Je n’ai cessé d’être déçue par les retournements de situation téléphonés. L’auteure passe son temps à déstructurer et réinventer les personnages (Élisabeth -Bennet- Darcy est une potiche sans caractère, C’est du charcutage), tisser des liens entre eux, modifiant les relations qu’Austen avait mises en place (une vraie boucherie), pour au final ne pas s’en servir et sortir un coupable de nulle part. Elle tourne autour du pot, ce qui fait que la réelle intrigue ne commence qu’au troisième tiers du texte. L’enquête effectuée pour retrouver l’assassin du Capitaine Denny ne tient pas la route, ce n’est qu’une suite d’avis de la part de personnages plats et/ou caricaturaux.
De plus le livre regorge de petits anachronismes et de petites erreurs (mention des empreintes digitales, espérance de vie absurdes pour l’époque,…) assez perturbantes pour lui faire perdre sa crédibilité. Je suis d’accord qu’un auteur à le droit de faire ce qu’il veut, c’est là toute la beauté de la littérature et je suis d’accord que des petites anomalies comme cette histoire d’âge ne sont que des détails. Malheureusement, pour moi, les détails font la cohérence et la différence entre une adaptation respectueuse et une adaptation ratée. Ou alors, P.D. James ne se targue pas d’écrire un roman policier reprenant les personnages, le contexte historique et politique et l’ambiance d’Orgueil et Préjugés.
Sympa mais sans plus. Outre le fait que je ne suis pas fan de Jane Austen, Darcy et compagnie, j'ai trouvé ce livre un peu mou, répétitif, sans grand intérêt, et avec trop de nom. Bref, pas loin d'être une galère.
Bien sûr le charme anglais a opéré, mais je dois admettre que la courtoisie toute anglaise des personnages m'a franchement fait chier. Enfin bon, si la couverture est sympa (et je l'ai acheté pour ça) le roman n'est pas inoubliable.
mortellement ennuyeux!
une suite sympathique d'Orgueil et préjugés
Drôle d’idée que de vouloir donner une suite à Orgueil et Préjugés et surtout d’en faire un roman policier !
C’est pourtant l’idée qu’à eu Phyllis Doroythy James, la reine du crime britannique.
Avec un pari comme celui-ci il n’y avait que deux solutions : faire un chef d’oeuvre ou un gros navet.
Hélas, le livre penche vers la deuxième hypothèse. On ne retrouve rien de l’atmosphère, des personnages, de la touche si personnelle de Jane Austen.
L’intrigue est molle, le décor guindé, tout est raté dans ce roman.
On pardonnera à P.D James seulement parce qu’elle a 90 ans…
Ce livre est en fait plus une suite d'orgueil et préjugés qu'un roman policier. c'ets un peu long et d&écevant au final.
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