L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Textes de Maurice Barrès : La mort de Venise, suivi de Venise en dirigeable Palais et lagunes, La mort de Venise (1903) nous raconte la fascination de Maurice Barrès pour cette ville semblable à nulle autre. C'est en Dandy égotiste qu'il la découverte en 1892, c'est en poète qu'il la raconte plus tard dans La Mort de Venise. Il y retrouve les pavés des Fondamenti et des Zattere, les palais patriciens et les reflets de l'Orient sur les canaux. Cette nouvelle île des morts est heureusement égayée par Véronese et Tiepolo dont il nous conte les splendeurs.
On y joint un texte bref qui nous décrit une Venise aérienne et en tenue de guerre : C'est Venise en dirigeable (1916).
Un texte majeur de ce prince des poètes qui écrira dans sa trilogie du « Culte du Moi » : « C'est à Venise que j'ai décidé toute ma vie »
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