L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Procrastiner, ne pas travailler, perdre son temps... Inutile de culpabiliser?: « traîner », en fin de compte, c'est déjà philosopher. La vie ordinaire efface le temps perdu : il faut travailler pour vivre, et pour que l'ordre social se maintienne. Perdre son temps devient alors une forme de sabotage. Raison pour laquelle nous ne parlons pas de ce temps que nous perdons, raison pour laquelle aussi le langage ordinaire se prête mal à décrire le temps perdu. Pierre Cassous-Noguès risque donc ici un éloge de l'inactivité, en faisant redécouvrir, à travers une succession de scènes étrangement familières, empreintes d'une absurde drôlerie, plusieurs façons de perdre son temps : la mélancolie, le divertissement, la panne, la procrastination, la flânerie, l'ennui, la rêverie...
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