"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Vagabonds, des mendiants dont le nombre s'est accru par la crise économique et le chômage sèment la frayeur. Dès la seconde semaine du mois de juillet, une rumeur alarmiste se répand dans les campagnes, des aristocrates se servent des brigands pour tenter de dissoudre l'Assemblée nationale constituante et se venger, on parle de complot aristocratique. A la veille de la moisson, la conjonction de la nouvelle des événements parisiens et de tous ces bruits, joints aux peurs réelles (brigands...) et irréelles (loups-garous...) suscitent un climat d'incertitude, d'énervement. Ces peurs se répandent par vagues, des courants de panique se propagent. La Grande Peur enflamme une grande partie du royaume de la mi-juillet jusqu'au début du mois d'août. Le 6 août, Pontacq apprend de la part des consuls d'Ibos l'annonce de l'arrivée de brigands, à partir de là une partie du Béarn est sujette à la peur et même à la panique ...
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