"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
La fenêtre, histoire d'une disparition, est un des plus beaux textes de Mario Soldati. Il débute par l'arrivée joyeuse du protagoniste à Londres, ville qu'il aime beaucoup et qu'il n'a pas revue depuis vingt ans, bien avant la guerre. À Victoria Station, l'attend une femme, son amie Twinkle, dont il était amoureux et qu'il n'a jamais oubliée. Il ne l'a pas revue non plus depuis vingt ans, et elle lui est toujours chère. Elle a jadis repoussé son amour, mais une affection réciproque, forte, fidèle, les lie toujours. Il serre joyeusement dans ses bras Twinkle, femme svelte et robuste, et baise ses cheveux devenus blancs. Santé, équilibre et sérénité émanent de son corps, de ses cheveux, de son visage maigre et frais. Néanmoins, il doit bientôt dire adieu aux heureux projets de vacances qu'il avait en tête en arrivant. Son amie se révèle fragile, souffrante, possédée par un songe qui l'obsède. [...]Comme tous les récits, tous les romans de Mario Soldati, La fenêtre est en fait l'histoire d'une rencontre avec le royaume des ténèbres.Natalia Ginzburg.
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