"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Les incendies de la Commune ont-ils été aussi destructeurs que le prétend la version officielle ? Les communards sont-ils les seuls responsables de ce bilan ? Et si ce vandalisme avait offert à la bourgeoisie l'opportunité de métamorphoser Paris en capitale de la modernité ? C'est la thèse d'Hélène Lewandowski, qui raconte ici une autre histoire de la dernière révolution du XIXe siècle. En mai 1871, la Commune prend fin. Le palais des Tuileries et l'Hôtel de Ville sont réduits en cendres. Pris d'assaut par les touristes, les monuments calcinés sont à l'origine d'une économie florissante : vente de guides, plans illustrés, albums-souvenirs, organisation de voyages par les Cook's Tour de Londres... Un siècle et demi après, voici un livre qui révèle comment cette insurrection, loin de détruire la ville modelée par le baron Haussmann, a servi la bourgeoisie en favorisant une transformation qu'elle attendait pour stimuler une industrie qu'elle possédait. Un parcours à travers les ruines qui dévoile les secrets de la reconstruction de Paris. Historienne de l'architecture, Hélène Lewandowski prépare une thèse sur les conséquences des expositions universelles du xixe siècle sur l'architecture de Paris. La face cachée de la Commune est son premier livre.
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