Le nouveau polar de l'auteur primé de la trilogie à succès Gemma Woodstock : The Dark Lake, Into the Night et Where the Dead Go. - Lauréate du prix Ned Kelly 2018 du meilleur premier roman, traduite en 15 langues. Chaque nouveau rebondissement de l'histoire équilibre habilement les révélations fracassantes et la crédibilité, dans un crime qui semble douloureusement familier et choquant à la fois. Tout comme Oli, je n'ai pas pu m'arrêter avant de connaître moi aussi la vérité. JACQUELINE BUBLITZ, auteur de Before You Knew My Name (Avant que vous ne connaissiez mon nom) Trois colocataires. Un mort, un disparu et un accusé de meurtre. Cette affaire, surnommée l'homicide des colocataires, est un mystère qui a déconcerté les Australiens pendant près d'une décennie. Olive Groves, journaliste à Melbourne, a travaillé sur l'affaire en tant que jeune reporter et en est devenue obsédée. Neuf ans plus tard, le colocataire disparu est retrouvé mort dans une propriété isolée. Olive se voit à nouveau confier l'affaire, cette fois à contrecoeur, avec Cooper Ng, un podcasteur millénaire et précoce. Au fur et à mesure qu'Oli et Cooper découvrent de nouveaux faits sur les trois colocataires, un sombre réseau de secrets est mis au jour. Les révélations ramènent Oli à la mort du premier colocataire, l'obligeant à affronter les traumatismes et les insécurités du passé qui sont remontés à la surface. Que s'est-il réellement passé entre les trois colocataires cette nuit-là ? La recherche incessante du meurtrier par Oli mettra-t-elle sa nouvelle famille en danger ? Et sa suspicion que la vérité se trouve plus près de chez elle pourrait-elle menacer son bonheur et même sa santé mentale ? Un thriller palpitant et provocateur de l'auteur à succès de The Dark Lake, Into the Night et Where the Dead Go. Le crime australien à son apogée. J.P. POMARE, auteur de Call Me Evie
Fortement influencée par les très bons retours que j'ai pu lire, je me suis donc plongée dans une histoire pour laquelle j'avais beaucoup d'attente. J'étais heureuse par ailleurs de retrouver l'auteure dont j'avais commencé la série de la détective Gemma Woodstock.
J'ai trouvé l'idée de départ super. Trois colocataires : l'une est retrouvée morte, une autre est couverte du sang de la première et, la dernière a mystérieusement disparu...
Même si j'apprécie la plume de Sarah Bailey, je n'ai pas réussi à me plonger avec facilité dans cette histoire. Étant pourtant habituée à la lecture de livre au rythme assez lent, j'ai sans cesse décroché avec celui-ci. L'accélération du récit dans le dernier tiers du roman a donné une autre dimension au texte que j'ai beaucoup apprécié mais qui malheureusement a mis trop de temps à arriver.
Malgré cette impression très mitigée, cette lecture me rappelle que je vais pouvoir me procurer les deux tomes que je n'ai pas encore lus de la détective Gemma Woodstock.
Je tiens à remercier les éditions Mera pour cette lecture qui m'a permis de découvrir et d'en apprendre plus sur cette toute jeune maison d'édition.
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