L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
En 1995 le maire de la ville d'Hyères, Léopold Ritondale (1921-2008), m'a demandé d'être " son " adjoint à la Culture. Il connaissait ma famille et en savait l'ancienneté locale. J'avais eu auparavant une action associative où il avait pu repérer mon esprit d'indépendance et mon franc-parler. Cela devait lui plaire. Mais je n'avais jamais prévu de dévier ainsi de la philosophie que j'enseignais alors. J'ai quand même accepté. Les propos qui suivent sont issus de cette expérience qui m'a fait éprouver, à Hyères et au-delà, ce que devient généralement la culture dans les parages du pouvoir : la variable aléatoire d'un calcul politique. J'en ai gardé une vision sombre du pouvoir. J'en ai conclu à l'improbabilité de la culture. Car leur accord, quand je l'ai vécu, ne tenait qu'à une rencontre passagère. Mais je pense toujours que " c'est la nuit, comme dit Edmond Rostand, qu'il est beau de croire à la lumière ".
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