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Grande figure de la Résistance, Germaine Tillion est entrée au Panthéon en mai 2015 en même temps que Geneviève de Gaulle-Anthonioz (avec laquelle elle se lia à Ravensbrück), Pierre Brossolette et Jean Zay.
Décédée en avril 2008 à l'âge de cent un ans, Germaine Tillion a connu un destin exceptionnel. Ethnologue et historienne, elle a commencé ses recherches en Algérie auprès des populations Chaouias des Aurès. Revenue en France à la veille de la guerre, elle fut l'une des premières résistantes en liaison avec le réseau du Musée de l'Homme, avant d'être arrêtée, emprisonnée à Fresnes puis déportée à Ravensbrück.
Après avoir travaillé sur la déportation, elle retourna en Algérie pendant la guerre d'indépendance pour diverses missions, officielles ou officieuses, d'information et de conciliation, cherchant à empêcher l'horreur qui s'installait dans les deux pays.
Les textes et documents réunis dans ce volume s'attachent aux multiples actions de l'ethnologue, particulièrement en Algérie, ce qui lui valut d'être souvent désignée comme Tillion l'Algérienne.
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