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La fête foraine et ses innocents vertiges, le parfum des pommes d'amour et le souvenir de ce train qui nous emporte, toutes sirènes hurlantes, vers la nuit délicieuse d'une enfance oubliée...
La fête foraine appartient à notre patrimoine. Hier, le sourire de la femme à barbe et le soupir du géant Atlas. Aujourd'hui, le tourbillon de la vitesse, de la musique, de la lumière. Un théâtre public où l'on entre sans ticket, sans réservation. Où la ville trouve enfin son soleil de minuit. Où elle promène ses rêves et ses rires.
Le théâtre de la rue, Marcel Campion le connaît comme sa poche. A l'âge où les autres apprenaient à lire, il participait déjà aux parades foraines. Il était clown. Un petit clown qui adorait les couleurs de la fête mais en redoutait les ombres : la tuberculose du père, les gifles de la belle-mère, la peur du gendarme. Et la misère. Noire.
Très tôt il a appris à se battre. Pour gagner sa vie. Pour s'imposer dans sa communauté. Et pour défendre le monde forain que menacent parcs d'attractions et pouvoirs publics.
Depuis quarante ans il mène un combat sans merci, refusant que la fête disparaisse, qu'elle soit reléguée hors des villes.
Aujourd'hui, à tous ceux que passionne cet univers, il lance un mot d'ordre : résister. Pour que s'allument encore nos regards d'enfants.
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