"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
En 1963, John Brunner imagine un monde hanté par le ressentiment des générations futures.
Une nuit, Max Harrow est arraché brutalement à un cauchemar par la sonnerie de la porte d'entrée. Un agent de police vient de secourir dans la rue un homme inconscient, à la maigreur effroyable...
Cette longue nouvelle porte la trace de la terreur qu'inspira le nucléaire dans le monde de la Guerre Froide. Mais son originalité - qui justifie pleinement son entrée dans la collection Dyschroniques - repose moins sur l'expression de cette peur présente que sur la conviction du risque écrasant que fait peser cette menace sur le futur de l'humanité. Un exemple efficace et glaçant de recours à l'un des thèmes fondateurs de la science fiction, celui du voyage temporel. Parue pour la première fois en 1963, « Some Lapse of time » a été traduite en français sous le titre « Faute de temps » par George W. Barlow pour Le Livre d'Or de la science-fiction, n° 5049, consacré à Brunner, en 1979. Ce texte n'avait jamais été republié en France depuis cette date.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
L'auteur se glisse en reporter discret au sein de sa propre famille pour en dresser un portrait d'une humanité forte et fragile
Au Rwanda, l'itinéraire d'une femme entre rêve d'idéal et souvenirs destructeurs
Participez et tentez votre chance pour gagner des livres !