L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Ecrites d'un trait en une semaine, belles parce qu'habitées, ces pages sont fortes d'un style clair et tenu, proche de celui de Ramuz, posées là, sans un mot ni une image de trop.
Elles portent en elles une sorte d'intensité dramatique, scandée au fil des veillées d'un village, de plus en plus intenses. Le sens caché d'un malheur à venir sur la communauté est admirablement servi par l'économie des moyens mis en oeuvre. Le récit ne traîne pas, ne s'égare jamais, bien au contraire, l'auteur installe un suspens, une attente serrée au coeur de l'écoute du groupe. Les mots et les visions du conteur sont de plus en plus sombres et incantatoires sous cette chape de plomb.
C'est très écrit, classique, maîtrisé, opérant et profondément théâtral. Nous sommes au tout début de 1914...
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