L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Annie Gay, historienne comtoise et spécialiste du XIXe siècle, retrouve ses racines avec cet ouvrage et change d'époque.
Dans ce nouveau livre, pour notre plus grand plaisir elle brosse la toile d'une enfance villageoise dans les années 1950-1960. Rappelez-vous. Les élèves passaient alors le certificat d'études et chantaient Martyrs sacrés au monument aux morts le 11 novembre. Tandis que les femmes décrassaient la lessive à la fontaine, chargeaient les charrettes de foin à la fourche, les hommes eux, attelaient les chevaux au râteau-faneur, puis achetaient leur premier tracteur..
A la TSF on écoutait Zappy Max, entendait Luis Mariano chanter La Belle de Cadix, et Fernandel jouait Don Camillo. Le 1er janvier, le père Fouettard ne manquait pas de passer et on allait souhaiter la bonne année à l'instituteur et au curé. Le Coca-Cola remplaçait la limonade : " une cochonnerie américaine ", disaient les vieux... Une chronique la vie villageoise dans la décennie d'après-guerre qu'Annie Gay raconte en puissant aux sources vivantes de la société d'alors.
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