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Du premier au dernier jour

Couverture du livre « Du premier au dernier jour » de Charles Sagalane aux éditions La Peuplade
Résumé:

Ceci est un recueil de poe´sie dont vous e^tes l'interpre`te. Un exercice, une pratique. Tous les rituels sont convie´s a` se de´poser dans le blanc de page. Lire, biffer, composer, ine´crire. Comme on prie, me´dite ou prophe´tise, pour e´prouver les formules jusqu'a` ce que la re´ve´lation... Voir plus

Ceci est un recueil de poe´sie dont vous e^tes l'interpre`te. Un exercice, une pratique. Tous les rituels sont convie´s a` se de´poser dans le blanc de page. Lire, biffer, composer, ine´crire. Comme on prie, me´dite ou prophe´tise, pour e´prouver les formules jusqu'a` ce que la re´ve´lation apparaisse.

Fort de trente anne´es a` parcourir les routes du monde et les grandes traditions lyriques, Charles Sagalane utilise le murmure des textes sacre´s afin d'en distiller une eau-de-vie myste´rieusement enivrante.

Ainsi soit Du premier au dernier jour.

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  • D’or et d’ésotérisme, d’empreintes et de quintessence, « Du premier au dernier jour » est rémanence.
    Une chapelle à flanc de montagne qui laisse les myriades de mots s’envoler.
    La grandeur signifiante, le symbolisme comme une écharpe de laine autour du cou.
    Ce macrocosme qui fige l’éternité,...
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    D’or et d’ésotérisme, d’empreintes et de quintessence, « Du premier au dernier jour » est rémanence.
    Une chapelle à flanc de montagne qui laisse les myriades de mots s’envoler.
    La grandeur signifiante, le symbolisme comme une écharpe de laine autour du cou.
    Ce macrocosme qui fige l’éternité, jour après jour.
    Premier jour, l’adage comme un marque-page qui retient le théologal entre ses mains.
    Les paraboles comme un cerf-volant en pleine lumière.
    « C’est là que ta mère t’a fait, comme un sceau, comme la mort, beaucoup d’eau pour l’amour. »
    L’essentialisme en majesté, ici, c’est la flamme qui, jamais ne meurt.
    Aucun souffle pour arrêter la chute du temps.
    « Effeuillée, l’ombre des arbres a pu croire à l’abandon, mais j’ai tissé la lune de fleurs jaunes. »
    Sept jours, la poésie tremble et enchante les murmures édéniques.
    Les rituels comme des sources où s’abreuver à l’infini, constants et assignés à perdurer.
    La déambulation-cime, étreint la marche et change la direction vers cet autrement.
    Le pas de côté est une respiration.
    « Toi aussi, dans ta maison, reçois la moitié de tout, tout ce qui vit, le mystère, les œuvres, le don. »
    L’appel est un écho. Tout resplendit ici, entre les pages, le mystique, la grâce et cette attirance métaphysique.
    Tout remodeler des sept jours, chapelet laïque, où ne dispose pour survivre que la vérité du plein jour.
    L’éclaircie entre les pages, souveraine et altière, œuvre qui se compose dans la main du maître absolu : Charles Sagalane.
    « Qui connaît parole, qu’il soit invisible à autrui, comme une mère rayonne, en marche. »
    Le sacre de ce recueil est le gardien de ce qui ne s’oublie pas.
    Des entrelacs-fusions, et le sentiment stupéfiant d’une marche cardinale inoubliable.
    Intemporel, un viatique. Le temps des offrandes entre nos mains.
    Publié par les majeures Éditions La Peuplade.

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