Si certaines sont impressionnantes et effrayantes, d'autres sont drôles et rassurantes !
Quelques années avant d'écrire son célèbre Paradoxe sur le Comédien, Diderot a noué des liens épistolaires avec deux comédiennes, l'une jeune et peu connue, mademoiselle Jodin, l'autre plus âgée, influente dans le milieu littéraire et théâtral du temps, madame Riccoboni.
Ces lettres peuvent s'entendre comme des espaces de parole, lieux où les destinataires d'une correspondance réagissent, créent une distance, jouent d'une ironie... Elles peuvent aussi se lire, à travers les conseils prodigués, comme des esquisses de l'oeuvre à venir, des « essais » où s'élaborait la pensée de Diderot sur le jeu de l'acteur.
Ainsi dévoilées dans cet échange de lettres, les prémisses de la théorie de Diderot sur le comédien n'offrent pas seulement la trace de la genèse d'une oeuvre plus construite et mieux connue, elle donne le plaisir de voir se déployer le petit théâtre des idées de Diderot : vivantes, violentes parfois, terriblement humaines.
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Caraïbes, 1492. "Ce sont ceux qui ont posé le pied sur ces terres qui ont amené la barbarie, la torture, la cruauté, la destruction des lieux, la mort..."
Chacune des deux demeures dont il sera question est représentée dans le sablier et le lecteur sait d'entrée de jeu qu'il faudra retourner le livre pour découvrir la vérité. Pour comprendre l'enquête menée en 1939, on a besoin de se référer aux indices présents dans la première histoire... un véritable puzzle, d'un incroyable tour de force