"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Comme d'autres gouvernants, les rois de France saisissent, dès la fin du Moyen Âge, l'importance de la mer pour la formation, la prospérité, l'indépendance et la défense de leurs États. Pour promouvoir, organiser et contrôler des activités maritimes en pleine expansion, l'État multiplie les entités administratives. Dans un premier temps la monarchie met en place des juridictions, telle que la Table de marbre, ou des institutions à vocation militaire, tels que l'amirauté ou les arsenaux. Au cours des siècles, les institutions impliquées dans la gestion des activités maritimes françaises ne cessent de se multiplier. Leur mise en place répond à de nouveaux besoins suscités par l'expansion de la navigation militaire et commerciale. Elles s'adaptent constamment au progrès technique, aux mutations de l'économie et de la société, ainsi qu'aux changements des régimes politiques. Ces évolutions entraînent d'incessantes réorganisations qui redistribuent les attributions et les compétences. Certaines se transforment en profondeur sans pour autant modifier leur nom, tel que le Conseil de la Marine, d'autres changent régulièrement d'appellation tout en gardant les mêmes missions et prérogatives, comme l'École de guerre navale qui change d'appellation à maintes reprises.
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