L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Comment pouvons-nous distinguer la frontière - si elle existe - entre la fiction et la réalité ? Et comment un artiste peut-il suggérer l'importance de telles découvertes ? Pour Sophie Ristelhueber, la plus grande vérité se trouve dans les détails du monde.
Avec l'image d'un quelconque paysage mutilé par les bombardements ou celle d'un papier peint en lambeaux dans une maison de famille, l'artiste transcende le désordre et la spécificité d'un lieu pour créer une oeuvre sans limite de temps, ni d'identité. Plus important encore, c'est par l'absence de vie qu'elle aborde si bien la présence fragile de la vie. Et c'est par le biais d'installations qui couvrent les cimaises et remplissent les salles d'exposition - ou, à l'inverse, par le regroupement délibéré de ces images dans des livres au format de poche - que Sophie Ristelhueber fait partager ses obsessions.
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