L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
PROMULGUÉ par Louis XIV en 1685, aggravé dès 1742, le Code Noir réglementa l'esclavage des Noirs aux Antilles et aux Mascareignes, en Louisiane et à la Guyane, et ne fut définitivement aboli qu'en 1848. Le voici réédité intégralement, replacé dans sa filiation théologique, philosophique et juridique, confronté aux réalités historiques de l'esclavage et à la critique philosophique - de Montesquieu et Rousseau aux révolutionnaires de 1789 - dont il marque cruellement les limites.
Le Code Noir règle la part française du génocide le plus glacé de la modernité. Génocide que la France intelligente choisissait depuis longtemps, et jusqu'à hier soir, d'ignorer pour ne pas même devoir peiner à l'oublier.
Aujourd'hui, par une disposition légale votée en 2001, la France qualifie le couple traite-esclavage de « crime contre l'humanité », s'impose une obligation morale de mémoire et élude le devoir juridique de réparation. Elle lèse ainsi la Loi, dont la lettre, tout comme l'esprit, dit « imprescriptibilité » lorsqu'elle dit « crime contre l'humanité ». - LOUIS SALA-MOLINS
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Mêlant la folie à l’amour, l’auteur nous offre le portrait saisissant d’une « femme étrange » bousculant les normes binaires de l’identité sexuelle
Dans ce recueil de 13 nouvelles, la jeune autrice mexicaine frappe fort mais juste
Une fiction historique glaçante et inoubliable, aux confins de l’Antarctique