Ainsi parle le maître épéiste Jubei Shimada, condamné à mort par son seigneur. Dans une nature superbe, le maître révèle à son disciple pourquoi il refuse la sentence. Le jeune Tetsuo, son Kaishakunin, va alors l'aider à défendre l'honneur des samouraïs, celui d'une société féodale romantique sur le déclin.
Roberto Recchioni et le dessinateur réaliste Andrea Accardi se sont inspirés des films de sabre et du grand Kurosawa. Ils ont puisé dans la littérature et la peinture pour imaginer le Japon du XVIIe siècle, quand les combats sont montrés dans leur forme la plus pure, celle de la voie du sabre : le bushido. Impressionnant.
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