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Comme son titre l'indique assez, ce nouveau livre de Jean-Jacques Viton est un constat désolé, un genre d'adieu à un monde qui n'a pas tenu ses promesses. Et pourtant, au long de ces pages, sont disposées toutes les raisons, tous les mots qui pouvaient justifier sinon l'espoir, au moins l'étonnement devant la réalité, sa richesse, son mystère inépuisable, ses rencontres. Le texte est scindé en petits blocs, on dirait des poèmes, ce sont des poèmes, mais aussi un texte qui se suit et d'où toute «poésie», il faut entendre tout lyrisme déplacé, est exclue. La poésie est ici suscitée par les rapprochements, les confrontation, plutôt que par la fluidité et les rythmes. Deux parties, «Une ombre sans ombre» pour dire l'effacement du monde, et «Sa voix est celle d'un fantôme» dont le sens s'éclaire quand on sait qu'on appelle fantôme, dans une bibliothèque, la carte mise dans un rayonnage à la place du livre absent.
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