L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Publié en Espagne en 2004, Cecilia est une parenthèse heureuse dans l'oeuvre sombre et visionnaire d'Antonio Gamoneda : une sorte d'art d'être grand-père qui nous vaut trente poèmes d'une clarté et d'une transparence qui n'excluent ni le mystère ni l'angoisse. Chant à la vie à travers le sentiment aigu de sa perte, chant d'amour à ce qui nous abandonne irrémédiablement, ce livre - traduit par Jacques Ancet et publié en édition bilingue -, est le parfait contrepoint au désespoir éblouissant de Clarté sans repos qui paraît simultanément aux Éditions Arfuyen.
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L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Mêlant la folie à l’amour, l’auteur nous offre le portrait saisissant d’une « femme étrange » bousculant les normes binaires de l’identité sexuelle
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Une fiction historique glaçante et inoubliable, aux confins de l’Antarctique