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Gérard Sendrey semble se moquer du lecteur. Ne termine-t-il pas le second album par un " poème " intitulé Rabat tu dont j'extrais ce passage : " Je ne crois pas qu'ils seront jamais lus mes vers ni les moins cuits ni les plus crus. / Et franchement je vous comprends. Je m'emmerde tellement, moi, à lire ceux des autres que ça ne me donne pas du tout envie qu'ils lisent les miens. " Dont acte.
Reste l'humour. Parfois graveleux comme ici : " sa main maladive sur la braguette du zouave " (mais ça change d'Houellebecq !). Parfois d'un ton surréaliste et populaire qui n'est pas sans rappeler Jacques Prévert. Gérard Sendrey s'amuse avec les mots, il les inverse : " son pantalon poche aux hiboux / avec des hululements de genoux ".
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