L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
«Le spectateur fait son travail, dit Catherine Breillat. S'il ne voit rien, il imagine tout. Et quand il voit tout, il imagine qu'il ne voit rien parce qu'il est dans l'émotion. C'est le désir qui fait la scène, ce n'est pas le fait de voir ou de ne pas voir. Le cinéma, c'est croire qu'on a vu, alors qu'il s'agit de choses qu'on a vécues. » Cette citation, Christine Aventin l'a épinglée au mur de son bureau, l'établissant comme prémisse à toute pensée, et comme fondement narratif. Qu'il s'agisse de parler de la virginité des filles, du viol, de l'ogre ou de l'obscène, ce rapport cathartique à l'oeil, à l'émotion et au désir, est le socle de ce livre construit comme un essai-fiction où l'auteur se regarde voir les films de Breillat et dissèque son trouble jusqu'à l'inavouable.
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