Lara entame un stage en psychiatrie d’addictologie, en vue d’ouvrir ensuite une structure d’accueil pour jeunes en situation d’addiction au numérique...
Samuel Beckett, il y a longtemps, répondit à la question « Pourquoi écrivez-vous ? » par un sobre « Bon qu'à ça ». C'est ce que Jirí Kylián estime être, bon qu'à ça. Lui qui devint chorégraphe parce qu'il avait compris qu'il ne serait jamais aussi bon danseur que Rudolf Noureev et que le corps des autres exprimerait mieux que le sien ce qu'il avait besoin de dire. Dans Bon qu'à ça, il raconte, simplement, ce qui le fait vivre : la danse, qui forme un tout avec la vie. Il décrit son univers hanté par le temps et la disparition. Il évoque ses sources d'inspiration - parmi lesquelles sa compagne et les aborigènes. Il explique comment l'image prend de plus en plus de place dans son oeuvre - serait-elle une chance de ne pas mourir ? Récit d'un itinéraire marqué par la transcendance du corps et par le mouvement.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
Lara entame un stage en psychiatrie d’addictologie, en vue d’ouvrir ensuite une structure d’accueil pour jeunes en situation d’addiction au numérique...
Un douloureux passage à l'âge adulte, entre sensibilité et horreur...
Blanche vient de perdre son mari, Pierre, son autre elle-même. Un jour, elle rencontre Jules, un vieil homme amoureux des fleurs...
Des idées de lecture pour ce début d'année !