L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Nos relations aux animaux sont multiples, surprenantes et souvent insoupçonnées. Elles sont aussi principalement à sens unique: pour nous, le vivant non humain n'est digne que de peu d'égards (sauf s'il est source de profit), et encore moins de droits.
Notre comportement doit en réalité beaucoup à l'ignorance. Sans doute suffirait-il de montrer ce qui est, pour suggérer ce qui pourrait être. C'est du moins le pari que s'est lancé Marcel Barelli avec ce Bestiaire désenchanté Il a pour cela réalisé 50 portraits d'animaux, tour à tour ironiques, drôles ou dramatiques, tous accompagnés d'une courte mise en contexte. Chacun est emblématique d'un type de relation que nous entretenons envers nos congénères à plumes, à poils ou à écailles. Tous se posent comme une invitation à réfléchir, à reconsidérer nos préjugés et à transformer notre rapport au vivant.
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