"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Deux ans après la parution de L'Art magique, André Breton organise la célèbre Exposition inteRnatiOnale du Surréalisme (EROS) qui prend pour thème l'érotisme, ce « lieu privilégié, théâtre d'incitations et de prohibitions, où se jouent les instances les plus profondes de la vie ». Il tente, sans succès, d'y inclure l'artiste turc Yüksel Arslan. Pour des raisons administratives, ce dernier ne gagne Paris que deux ans plus tard. Il rencontre alors André Breton et Jean Dubuffet, mais maintient ses distances avec l'un et l'autre.
Au croisement de la culture orientale et occidentale, Yüksel Arslan se nourrit de la lecture de livres dont il retranscrit des passages dans des albums avant de composer ses peintures associant textes manuscrits et motifs. Ses champs d'intérêt sont multiples : on trouve l'histoire, la philosophie, la psychanalyse, la psychiatrie, la littérature ou l'art brut. Pour la première fois en France, l'exposition retrace le parcours de cet artiste récemment disparu.
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