L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Anatole Deibler avait le goût du travail bien fait. Il fallait donner des gages de sérieux à la République pour mériter sa confiance. Au vu de son bilan et de sa longévité - de 1885 à 1939 - on a tout lieu de croire que ce fils et petit-fils de bourreaux fut à la hauteur des espoirs mis en lui. Destiné par sa naissance à cette fonction, malgré des signes de fragilité et l'image troublée d'un père atteint par un dégoût délirant de sa carrière, Deibler fut un fonctionnaire consciencieux.
Gérard Jaeger a consulté les « carnets d'exécutions » dans lesquels cet homme de devoir se justifiait et, en petit épicier de la mort, comptabilisait ses exécutions année par année. De Ravachol à Landru, du pauvre type au grand criminel, la «veuve» sous son mandat aura fait oeuvre de justice à 395 reprises.
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