L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Jacques, prénom "courant" si il en est, est également, comme on le comprendra en lisant le livre, la racine de "jacquerie" (au sens d'insurrection) ; et bonhomme est l'anonyme, le "tout le monde", au sens populaire du terme. Les deux auteurs se digèrent et se fondent dans l'insurrection anonyme, la jacquerie qui monte "d'en bas" (n'est-ce pas ce qui remue, ce qui se travaille dans la matière même de la poésie de ces deux auteurs? Dans l'écriture désincarnée de Jacques Sivan, comme dans la matière populaire et "art pauvre" de la poésie de Charles Pennequin ?).
Ainsi le titre du livre est sa signature ; et la signature, le sens même du livre.
Et c'est bien ce que raconte cet ouvrage, tant dans son "histoire" que dans sa matière même : une révolte qui traverse les histoires, des jacqueries paysannes d'antan qui se confrontent à nos trop actuelles banques omnipotentes, comme la tristement célèbre "Goldman Sachs Group, Inc." (nommée ici "Goldman Sack banque").
Une poésie/science fiction/graphique d'un genre nouveau, qui bouscule encore une fois nos habitudes de lectures.
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