L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Marquée en son début par la « bataille » d'Hernani, l'année théâtrale 1830 connaît après la révolution de Juillet une intense activité, la suspension de la censure préalable ayant brusquement levé les interdits. Trois séries de pièces se superposent alors partiellement : dès août, la commémoration des barricades (et le désenchantement qui la suit) ; durant tout l'automne, la stigmatisation des Jésuites, qui soutenaient les rois déchus ; pendant les trois derniers mois de l'année, la célébration de Napoléon, proscrite sous la Restauration. L'étude de ces trois corpus mène à la même question, implicite ou explicite : à quoi a servi le changement de roi ? Sylvie Vielledent analyse ici une série littéraire (les parodies d'Hernani) et trois séries politiques (les pièces, jouées ou non, d'août jusqu'au début de 1831) dont l'étude détaillée enrichit notre perception concrète des débats d'idées de ce temps.
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